La maman calme ou Comment rester zen ?

La maman calme : comment rester zen en toute circonstance ?

Ecoutez mes conseils pour retrouver calme et sérénité dans votre quotidien, sans chercher à être quelqu'un d'autre !

Cette émission, que j’ai créé pour toutes les femmes qui veulent trouver l’équilibre dans toutes les sphères de leur vie, est aujourd’hui consacrée à la vie de maman et surtout à : Comment rester zen ? Comment rester calme en toute circonstance ? Est ce que c’est possible ? Est ce qu’on en a envie ? Suis-je une mauvaise mère si je ne reste pas calme surtout ? 

C’est un sujet qui à mon sens mérite d’être traité parce que dans notre quotidien un peu fou, nous sommes toutes d’accord pour dire que la maternité n’est pas un long fleuve tranquille ! Et que l’on peut vite perdre son calme dans certaines situations. Et que cela a des conséquences non négligeables sur l’estime de soi !

J’ai envie de vous raconter cette histoire : Lorsque j’observe mes fils dormir paisiblement, je les regarde avec des yeux de merlan frit, je souris, ils me font chavirer et là je suis super calme. Si dans la nuit, ils me réveillent, je suis tout de suite moins enthousiaste : je réponds à leur demande, je console d’un cauchemar, je rassure mon fils s’il a peur du loup (“je prend le loup avec moi, il te laissera tranquille. Fais dodo maintenant”). Je commence déjà à être fatiguée et à m’agacer s’ils ne se rendorment pas tout de suite. Le lendemain matin, quand ils ne se lèvent pas, que je suis fatiguée par une nuit hachée, que je dois répéter 10 fois la même chose, qu’ils ne me répondent pas quand je leur demande : “tu veux manger quoi ?” je perds vite patience (donc la fatigue, le stress d’être à l’heure à l’école et au travail, l’agacement de les entendre se chamailler, tout ça fait que je peux rapidement perdre mon calme ! ça peut partir vite en live !). 

Est ce que je peux faire autrement ? Est ce que je dois faire autrement ? Est ce que je dois m’en vouloir de ne pas rester calme dans ces moments-là et avoir le sentiment que je vais traumatiser mes enfants à tout jamais ? Est ce que c'est de leur faute ? Est-ce que la calme attitude est la nouvelle tendance ?

La maman calme de Florence Foresti

 

Aujourd’hui donc, je me suis laissée inspirée par un sketch que j’adore : la maman calme de Florence Foresti. Je vous invite à aller le regarder si ce n’est pas encore fait ! Elle parle de ces mamans qui, au moment où elles amènent leurs enfants à l’école, restent calmes en public quoi qu’il advienne, qui montrent cet exemple (un peu dédaigneux dans le sketch) d’utiliser toutes les bonnes méthodes d’éducation positive et bienveillante, qui reste zen tout en disant non et en expliquant calmement les règles (que son enfant va respecter bien sûr), qui arrivent à être partout à la fois sans s’épuiser (au travail, investie dans l’école, auprès de son enfant…).. Et l’autre mère qui joue à la maman dépassée, débordée pour presque pas grand chose, qui court partout, qui n’arrive pas à être à l’heure, elle n’a pas eu le temps de se laver (“entre ma fille et moi fallait choisir”), qui n’arrive pas à gérer ni ses émotions ni celles de son enfant, qui cède à ses caprices… Bref un sketch où toute maman ne peut que rire de la situation et se reconnaît forcément dans une partie de l’une ou une partie de l’autre d’ailleurs !

 

Alors ce sketch et tant d’autres ont l’avantage de nous faire rire, de dédramatiser une situation déjà vécue, de nous faire déculpabiliser et de nous rendre compte que nous ne sommes pas seules. 

 

Ce que nous allons voir dans cet épisode, ce sont 3 choses indispensables à comprendre au sujet de la calme attitude. Je vous donnerai aussi mes conseils sur le sujet !

 

3 astuces à comprendre

 

Tout d’abord, je tiens à rappeler que la mère parfaite n’existe pas. Si vous avez écouté l’interview que j’ai donnée au réseau Res’PPI, vous savez maintenant que nous sommes tous des parents parfaitement imparfaits ! Pourtant, la réalité c’est que nombre de parents ont besoin de soutien, d’être entendus et écoutés dans les moments surtout moins faciles à gérer. 

Et ces moments-là peuvent donner lieu au sentiment de perdre son calme !

Et perdre son calme donne souvent ce sentiment désagréable de perdre le contrôle sur la situation et de s’en vouloir. 

Être calme, c’est avoir la maîtrise de soi et de ses émotions. La maîtrise de soi est une qualité qui permet de se contrôler, de se dominer (garder son sang froid dans une situation, rester calme dans certaines circonstances est indispensable). Mais peut-on avoir cette maîtrise tout le temps et en toute circonstance ? 

 

Comme la vie n’est pas linéaire, il y a des hauts, il y a des bas. Il y a des moments de calme et d’autres où on va s’énerver pour un verre cassé, être violente (dans ses mots par exemple : “mais t’es bête ou quoi ??”), impulsive (“s’il ne me répond pas dans la seconde, je vais péter un plomb !”). 

Et c’est bien souvent quand on a le sentiment de perdre le contrôle que ça pose problème : “je n’aurais pas dû m’emporter”, “ça m’épuise de crier”, “je ne pensais pas devenir cette mère là !”. 

 

Pourtant on va voir que perdre son calme, en soi, ça n’a rien d’anormal.

Car quand on a le sentiment de ne plus avoir de contrôle sur une situation, c’est que notre système a été soumis à un certain degré de stress (trop de stress même !). 

Le stress est une série de réactions psychologiques et physiologiques en chaîne parfaitement naturelle. La première chose à comprendre c’est qu’on ne peut pas éliminer définitivement le stress de nos vies. Nous en avons besoin, il est même vital. Notre cerveau a gardé les traces de cette réaction primitive dans l’inconscient collectif. On associe tous le stress au danger (que le danger soit réel ou non d’ailleurs mais on va voir ça après !) et le cerveau, lui va s’adapter. En situation de stress, le cerveau reptilien (partie cérébrale commune aux animaux et aux hommes qui régule l’instinct de survie) prend le dessus et réduit nos possibilités de réactions à deux seulement : la fuite ou la lutte. Pour cela, il dévie le sang du cerveau vers les bras et les jambes et libère une décharge d’adrénaline pour nous préparer à fuir ou attaquer. Ça vous rappelle quelque chose ? Ce sentiment de péter un plomb de manière quasi impulsive ? Et dans ce cas, le cerveau est sous contrôle, il pense tout le temps à ce danger, il ne peut pas lâcher (d’où le fait de perdre son calme) ! Le stress fait pleinement partie de notre instinct de survie et est comparable à un accélérateur de réactions pour maintenir le bonheur et la vie.

Le stress fait partie de ces réactions naturelles chez l’humain pour qu’il continue à vivre et à être heureux. Ca parait contradictoire dit comme ça mais c’est tout comme avoir faim et soif qui permet de faire fonctionner nos organes et d'avoir de l’énergie. 

 

Ca parait contradictoire car là où le bas blesse, c’est que le stress va nous mener à une réaction qui va à l’encontre de notre bonheur. Le problème c’est que 1- l’on va interpréter les situations comme étant dangereuses alors qu’elles ne le sont pas et c’est cela qui est source de stress. 2- l’être humain est comme un réservoir, il lui faut trouver un savant équilibre entre les stress et les ressources pour faire face. Moins nous avons de ressources, plus le stress nous impacte et c’est là que l’on perd le contrôle. 

 

La deuxième chose à comprendre donc c’est que nous déclenchons notre stress : les facteurs de stress ne sont donc ni les situations, ni les autres, mais notre interprétation. Ce ne sont pas les autres le problème, c’est nous et notre capacité à interpréter.

 

Pour donner un exemple du danger ressenti lors d’une situation et du cheminement du stress : cette femme a deux enfants en bas âge, elle a un boulot à responsabilité et fait des heures à rallonge, elle n’a pas terminé son travail la veille et doit préparer les enfants pour aller vite à l’école. Elle est seule avec eux car avec son mari, ils ont convenu qu’elle s’en occupait le matin, et lui le soir (il travaille tôt). Mais ce matin-là, elle est pressée, pense qu’elle ne va pas s’en sortir, elle hurle sur son fils qui ne veut pas s’habiller, elle vocifère même et s’en veut. Elle a honte. Vous voyez bien le cycle : une situation (seule avec les enfants, doit réussir à être à l’heure, a beaucoup de travail), des pensées qui apparaissent (ils ne sont pas coopérants), l’interprétation (je n’en suis pas capable, je ne vais pas m’en sortir seule), une émotion (je ressens de la colère envers eux mais aussi envers moi qui me sens incompétente) et la réaction (je crie). Il n’y a pas de danger en soi. Le seul danger c’est de croire qu’elle ne va pas gérer la situation.  

 

Le cerveau a besoin de donner un sens à tout pour comprendre. Si les enfants de cette femme ne coopèrent pas, c’est bien parce qu’elle n’a aucune autorité et qu’elle ne sait pas s’organiser ! C’est ce qu’elle croit en interprétant ! La réaction physiologique au stress est très simple : la fuite ou la lutte. Cet instinct est primordial en cas de situation dangereuse, mais dans celle qui nous intéresse, pour cette femme par exemple, cet instinct limite ses possibilités de réaction et ses compétences. Pour ramener la circulation vers le cerveau et redéployer notre éventail de ressources, il faut s’obliger à réfléchir afin de modifier notre interprétation, ce qui changera notre émotion et donc notre réaction. D’ailleurs, lorsqu’on se rend compte que l’on interprète tout ce qui nous entoure (plus ou moins consciemment), on comprend également qu’il y a autant de réalités que de personnes. On comprend également pourquoi plusieurs témoins d’une scène ne raconteront pas exactement la même version des faits.

 

Nous ne sommes pas nos pensées. Si on commence à entendre une petite voix qui nous juge, qui nous fait croire que, on peut simplement apprendre à l’ignorer. 

Exemple : si elle cesse d’interpréter le manque de coopération de ses enfants, elle trouvera d’autres solutions. Beaucoup moins stressante, cette situation peut se calmer plus vite en jouant avec eux à celui qui ira le plus vite, en les sollicitant à lui montrer comment ils sont grands et savent s’habiller seuls ! Etc… En pensant que c’est possible, qu’elle peut y arriver, elle sera plus créative. 

 

Nous voici de retour dans l’émission Altern’mamans et l’épisode pour les mamans qui veulent retrouver du calme dans leur quotidien. Et on va voir ensemble comment passer de la maman stressée à la maman zen et si c’est possible !

 

La troisième chose à comprendre c’est que nous perdons notre calme parce que nous vivons trop de situations source de stress par rapport aux ressources à notre disposition pour y faire face.

D’une part, il y a des endroits où n’importe qui pourrait craquer (une voiture qui tombe en panne un matin où le réveil n’a pas sonné et que notre enfant ne fait pas encore ses nuits… ça fait peut-être beaucoup). Il y a des choses dont nous n’avons pas le contrôle. Il y a des choses qui ne dépendent pas de nous. Nous craquons parce que nous sommes fatiguées et cette fatigue nous fait perdre le contrôle. 

D’autre part, dans ce qui dépend de nous, nous nous mettons une pression importante sur les épaules dans l’interprétation que l’on fait des situations vécues comme je l’ai expliqué tout à l’heure (c’est ma faute, je suis pas compétente, je ne sais pas me faire écouter…)

Et le mélange de tout cela fait que la balance penche vers le stress avec le sentiment que nous n’avons pas de ressources pour y faire face. Alors qu’en réalité, nous avons beaucoup plus de ressources que ce que l’on croit. Nous sommes beaucoup plus créatives que ce que l’on croit. Nous sommes des êtres vivants plein de ressources, à nous de les trouver !

 

4 conseils pour rester zen

 

Alors maintenant, sachant tout cela, je vais vous donner mon premier conseil, c’est : lâchez-vous la grappe. Oui ça commence bien. 

Oui, parfois ça arrive de ne pas être calme. Ça arrive de mal faire, de ne pas avoir le sentiment de gérer. Tout d’abord, c’est normal en fait de ne pas être parfaite tout simplement. Et c’est ok. Vos enfants ne seront pas traumatisés à vie si vous leur avez crié dessus quelques fois, si vous allez un peu moins bien pendant un temps, si vous leur accordez un peu moins d’attention parce que vous êtes épuisée à ce moment-là. J’entends d’ici les “oui mais pour moi c’est différent, je ne me maîtrise plus dans ces moments là, c’est terrible !” : non, lâchez-vous la grappe. Pour les autres, attendez la suite. Plus nous sommes enclins au pessimisme ou enfermés dans nos convictions, plus le stress sera pesant et fréquent. Prenez soin de vous en priorité, vous saurez mieux prendre soin d’eux après. Et cerise sur le gâteau, ils apprendront de vos imperfections (ils se mettront moins la pression à leur tour).  

Stoppons cette culpabilité. Être parent, ça s’apprend.

Être calme, c’est avoir la maîtrise de soi et de ses émotions, on l’a vu. Mais peut-on avoir cette maîtrise tout le temps et en toute circonstance ? Bien sûr que non ! Il existe des facteurs qui ne dépendent pas de nous. Il y a des endroits où n’importe qui pourrait craquer. Soyez indulgente envers vous. 

D’autant plus indulgente que l’on entend partout tout un tas de conseils sur comment bien se comporter. Vous avez le droit de péter des plombs de temps en temps. Ça peut même faire du bien et décharger l’adrénaline. Lâcher le mental de temps en temps, ça fait du bien aussi. Lâchez ces pensées parasites qui vous polluent en les acceptant et en les laissant aller.  

 

Mon deuxième conseil consiste à identifier vos sources de stress. Assez basiquement, je vous invite à observer là où vous perdez votre calme. Dans le quotidien, on peut vite être happé par la tonne de choses à faire. Combinez cela avec le jeu de la femme parfaite auquel on veut jouer : ça donne une explosion parfaite ! Et chaque femme, maman de 1/2/3 ou + enfants, maman solo, maman de famille recomposée est soumise à ses doses de stress. 

Donc réfléchissez à ce qui est source de stress (on y prête pas assez attention je trouve).

Observez si :

  • votre sommeil est bon : est ce que vous dormez bien et suffisamment
  • si vous êtes plutôt toujours pressée et speed le matin, avez-vous le temps de vous occuper à la fois de vous et de vos enfants ?
  • si votre emploi vous stress, si vous y pensez le soir, la nuit…
  • si les temps avec vos enfants sont source de plaisir ou non
  • si vous avez des moments à deux en couple ou pas du tout
  • si vous avez du temps pour vous ou pas du tout
  • si le bruit vous envahit…

Bref, dressez un tableau de ce qui vous stresse et de ce qui à l’inverse va vous ressourcer. 

C’est mon troisième conseil, une fois les stress identifiés, c’est de chercher ce qui vous ressource déjà et ce qui peut vous ressourcer. On peut avoir tendance à croire que ça ne sert à rien de faire une pause dans la journée, d’aller marcher, de prendre l’air… Mais ce ne sont que des croyances car ces pauses sont destinées à

vous rendre plus efficace dans votre quotidien. Vous avez des ressources parfois insoupçonnées. La foi en soi et en trouver des solutions libère les énergies créatrices. C’est le doute qui les paralyse. Quand vous apprenez à croire en vous, vous trouvez des ressources là où vous ne les voyez pas auparavant. 

Utiliser vos ressources va vous permettre de faire preuve d’audace. Vous allez commencer à oser changer quelques habitudes comme anticiper certaines choses ou en lâcher d’autres (est ce que c’est important ?). 

Posez-vous ces questions :

  • qu’est ce qui me nourrit ? qu’est ce qui nourrit et prend soin de mon énergie ? Qu’est ce que j’ai envie de faire dans le sens de me sentir en vie ?

 

Mon quatrième conseil : l’observation non jugeante ou le lâcher prise (nommez-le comme vous voulez). Si le stress à haute dose est si désagréable à vivre, c’est bien la preuve que notre corps nous tire une sonnette d’alarme. 

Si à l’intérieur, on ressent de la nervosité, de l’agitation, du stress, de l’angoisse ou de la panique, c’est important de les prendre en considération.

Je vous propose cet exercice : que ressentez-vous quand vous perdez votre calme ? Observez et écoutez votre météo intérieure. Fermez vos yeux un instant, juste un instant pour écouter les battements du coeur, pour voir les mouvements de votre corps (est ce qu’il tremble, est ce qu’il est tendu, si oui où ?), pour observer si vous vous rongez les ongles, pour observer s'il y a un nœud quelque part dans le corps (dans le cerveau, s’il y a du brouillard, dans la gorge, une boule, dans le ventre…). Bref observez-vous et vous allez naturellement revenir au calme. 

 

Amusez-vous maintenant à modifier vos sensations vis-à-vis d’un souvenir en modifiant l’interprétation que vous en avez. 

Repensez maintenant à ce moment où vous avez perdu votre calme. Repensez à la situation qui vous a fait perdre votre calme (un enfant casse un verre). En visualisant cette situation, amenez une vague de paix intérieure et de tranquillité dans votre corps. Ressentez ce calme en vous. Observez les pensées qui apparaissent face à la situation (je suis déjà en retard, il l’a fait exprès pour m’énerver là) et chassez l’interprétation qui va avec. Pour ce faire, prenez là en compte, acceptez là et modifiez délicatement l’interprétation / le jugement intérieur / la croyance (ok je suis en retard, ça n’ira pas plus vite de m’énerver, il n’a pas fait exprès, cool cool). Et observez maintenant la nouvelle réaction. 

C’est la paix intérieure et la tranquillité qui vont générer du calme. 

En fait, en faisant cela, vous dénouez le problème qui s’est créé et qui a créé à son tour une réaction, nœud par nœud, pour apaiser les tensions. 

En faisant cela, aussi, vous allez être plus attentive aux signaux alertant et être plus attentive à vous accorder plus de pauses dans votre quotidien, plus de moments ressourcants, de douceur, de plaisir.

 

Résumé et conclusion

 

Pour résumer cet épisode, nous devons comprendre avant tout 3 choses : que 1-le stress fait naturellement partie de notre instinct de survie et c’est lui qui va nous faire perdre notre calme. 2- La deuxième chose à comprendre c’est que nous déclenchons notre stress en interprétant une situation comme étant dangereuse alors qu’elle ne l’est pas. Et 3- Si on vit plus de stress que l’on a de ressources à disposition, on perd le contrôle et notre calme avec. 

 

Pour conclure, l’enjeu est de ne pas s’en vouloir et de faire du mieux que l’on peut. Toujours. La maman calme n’existe pas tout comme la mère parfaite. Être calme en toute circonstance s’apparente à faire des miracles. Prenez soin de vos ressources, de vous et prenez conscience que les pensées limitantes qui vous traversent ne sont que des pensées, elles ne sont pas vous. 

Je vous dis à très vite pour un prochain épisode !